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Gestion - - Leslie Bazelot

7 situations qui font le plus rager en institut de beauté

Contexte d’hygiène parfois douteux, sentiment d’infériorité, exigences qui dépassent le soin de beauté… Voilà le quotidien des professionnels de la beauté qui pousse le métier à bout. Les esthéticiennes ne sont ni dermatologues, ni assistantes sociales, ni psychanalystes, et pourtant, elles sont un peu tout ça à la fois. Vis ma vie d’esthéticienne ou les coulisses croustillants de la beautysphère, (re)découvrons ensemble les meilleures anecdotes d’institut de beauté et les cas les plus redoutés.



Dans son livre Le corps des autres, Ivan Jablonka, spécialiste de l’histoire des femmes, donne la parole aux esthéticiennes. Ces professionnelles de la beauté s’expriment sur leur quotidien surprenant et parfois usant. L’équipe Kiute Pro, s’est également prêtée au jeu en interrogeant les esthéticiennes du groupe Facebook Tu sais que tu es esthéticiennes quand… Qu’est-ce qui fait le plus rager les esthéticiennes ? Quelles sont les situations les plus déplaisantes en institut de beauté ? Kiute Pro liste les meilleures anecdotes du métier.

1. Quand l’horloge ne tourne pas partout à la même vitesse

En institut de beauté, le planning, c’est sacré ! Alors quand une cliente réinvente l’horloge parlante, c’est la crise en perspective.
On a tout particulièrement en tête :

  • Les clientes qui arrivent avec 15 min de retard et qui ne comprennent pas quand on leur annonce qu’il va falloir raccourcir le temps de prestation pour rattraper le retard.
  • Celles qui rétorquent « Je ne savais pas qu’on était à 10 minutes près » alors qu’il y a déjà du monde qui attend derrière.
  • Quand il faut prendre la pelleteuse pour enlever les cinq grosses couches de vernis classique mal posé qui déborde de partout. On crise plus particulièrement quand la cliente s’étonne « Ah mince ! J’ai pas pensé à l’enlever… Il fallait peut-être ? ». Même scénario avec celles qui viennent faire une prestation d’extensions de cils avec cinq grosses couches de mascara waterproof. Elles doivent penser qu’elles ont à faire à une magicienne pas une esthéticienne ! 
  • Les clientes qui au moment d’être installées s’exclament « Heu… Je vais passer au toilettes avant ». #pertedetemps
  • Quand il faut ajouter des prestations parce qu’elles n’y ont pas pensé au moment de la prise de rendez-vous.

2. Le maintenant tout de suite et sans s’il vous plait !

« Drama queen » à l’horizon. Comme projetées dans le film de Pascal Bonitzer certaines clientes n’ont qu’une once de patience. Un rendez-vous pour hier ? Oui, oui… C’est cela !
On sourit toujours avec hypocrisie à celles qui :

  • Veulent « tout de suite maintenant » une épilation, alors qu’on a encore les gants aux mains, le téléphone qui sonne en même temps et personne pour nous seconder à l’institut.
  • Envoient des messages dans la nuit, les jours off ou pendant les prestations d’autres clientes. Ces mêmes clientes se permettent de mettre 4 sur 5 en temps de réponse sur certains sites parce qu’elles estiment qu’on n’a pas répondu assez rapidement.
  • Passent la porte à 19h25 alors que le salon ferme à 19h30.
  • Appellent à moins 2 de la fermeture alors qu’on vient d’éteindre le logiciel et l’ordinateur. Le salon est pourtant bien ouvert de 9h à 19h sans interruption et le site  internet à été tout spécialement créé pour prendre les réservations en ligne à toute heure 24H/24 7J/7 ! #vivelareservationenligne

5 raisons de se mettre à la réservation en ligne en période de crise Covid-19

3. Quand zone intime rime avec zone interdite en institut de beauté

Ça semble pourtant si évident dans le cadre de la beauty sphère et pourtant ! L’hygiène douteuse est trop souvent une vraie punition.
Zone intime ou zone interdite, on ne sait plus trop quoi en penser quand :

  • On retrouve un fond d’urine dans la poubelle de la cabine de bronzage.
  • Le fil du tampon dépasse, ou mieux encore, rien du tout, alors que la cliente a ses règles. #fautpaspousserlebouchon
  • La clientèle annonce de façon nonchalante qu’elle sort tout juste du lit et qu’on se rend compte qu’elle ne s’est même pas donné la peine de passer un gant de toilette.

4. Les lapins et rendez-vous oubliés

Fléau pour le métier, les rendez-vous non-honorés sans l’aide d’acompte à la réservation sont véritablement très difficile à éradiquer.
On continue à criser :

  • Si une cliente qui n’est pas venue au RDV fait la morte au téléphone.
  • Quand celles qui ne sont pas venues au dernier rendez-vous (et n’ont bien évidement pas prévenu) rappellent six mois après pour un nouveau rendez-vous et font l’air étonnées quand on leur parle du dernier rendez-vous non honoré « Vous devez vous trompez. Je n’ai jamais pris rendez vous avec vous c’était pas moi ». Heureusement, le fichier client, lui, ne ment pas ! #nonmaisvraiment
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5. Quand les bonnes manières ont tendance à s’effacer au passage du coton

On ne dit rien mais on n’en pense pas moins quand :

  • Ils faut plus de trois « bonjour » avant que le client entré à l’institut daigne répondre.
  • La cliente détaille et exige ce qu’il faut faire pour la prestation. Qu’il faut exécuter dans les moindres détails les ordres de la cliente qui pense savoir mieux que nous notre métier.
  • Une cliente rétorque naïvement « Ce n’est pas faisant ça que vous allez bien gagner votre vie » #mapetiteentreprise
  • Un client raconte « Ma petite fille elle a beaucoup de mal à l’école … Mais bon, c’est pas grave, elle fera esthéticienne plus tard ».

6. La course aux promotions et autres radineries en institut de beauté

S’il n’est pas rare de voir les clients affluer à l’occasion des offres promotionnelles proposées à l’institut, il est tout de suite plus agaçant de revoir ces mêmes clientes pousser la porte de l’institut à chaque fois que le mot promotion est mis à l’honneur.
On commence à rager quand :

  • Les clientes prennent les échantillons mais prétextent une prochaine visite pour acheter un quelconque produit.
  • La clientèle afflue uniquement quand les promos pointent le bout de leur nez. Et pourtant ce sont ces même clientes qui de délectent de raconter en cabine leurs supers voyages au Costa Rica ou à Bali…
  • Les clientes prétextent acheter en parapharmacie pour la composition des produits, sauf que si on fait bien attention aux ingrédients, on n’achète pas en parapharmacie justement. #fauxprétexte
  • On a affaire à des négociatrices professionnelles. « J’avais un budget de 50€, ça vous va ? ». Si seulement ça pouvait se passer comme ça à la caisse au supermarché !

7. Quand toute la prestation part en fumée sur un faux mouvement

Maladresse, oh maladresse… Dis moi pourquoi mes clientes me font vivre ce cauchemar !
On est au bord des larmes quand :

  • Les clientes abîment le vernis qu’on vient d’appliquer en fouillant dans leur sac à main.
  • Quand une cliente éclate ses ongles dans les bords de la lampe.
  • Les clientes qui viennent avec un « petit bout » en bas âge, qui ne reste pas sur les genoux et pleure dès qu’on le pose au sol. Résultat ? Une maman affolée qui va plaquer ses ongles pas secs partout et le travail d’une heure de prestation foutue en l’air. #aiecestlapagaille

Ces anecdotes vous donnent une impression de déjà vu ? Gardez votre calme. Le rush et les déconvenues font malheureusement partie du quotidien d’un institut de beauté. Si vous ne pouvez pas grand choses aux surprises que vous réservent vos clientes, vous pouvez néanmoins vous doter d’outils pour mieux anticiper le rush ou éviter les lapins. Les équipes Kiute Pro travaillent sur des solutions pour simplifier votre gestion et votre organisation. Demandez votre entretien personnalisé gratuit pour découvrir comment gagner en sérénité. Profitez-en !

anecdotesinstitut de beauté

Rédigé par
Leslie Bazelot

Leslie Bazelot

Tombée un peu par hasard dans l'univers de la mode et de la coiffure, c'est au coeur de la rédaction Biblond que j'apprends et découvre ce secteur fascinant. Après 6 ans à suivre les créations et actualités du monde de la coiffure, j'ai ensuite fait mes armes e tant que freelance pour accompagner des marques comme Jean-Claude Aubry ou Christophe Robin dans leur communication. J'ai également exploré les enjeux du BtoC et de l'e-commerce cette fois, en participant à la rédaction pour le blog Birchbox. Aujourd'hui ce qui m'anime ? Le partage de bonnes pratiques et astuces.